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Très médiatisé, le procès de l’ancien président de la Fédération espagnole de football, Luis Rubiales, démarre ce lundi. L’ex-patron de la RFEF est accusé d’avoir embrassé sans consentement, la joueuse Jenni Hermoso lors de la finale de la Coupe du Monde féminin en août 2023.

Dans son témoignage, Hermoso a fermement dénoncé cet acte, avant d’affirmer qu’un « baiser sur les lèvres de la part d’un patron ne devrait jamais se produire dans un contexte social ou professionnel ». Elle a souligné qu’elle n’avait jamais suggéré qu’un tel geste était une manière normale de célébrer et a exprimé son sentiment de manque de respect.

L’affaire a éclaté après la victoire de l’Espagne à Sydney, lorsque Rubiales a saisi le visage d’Hermoso avant de l’embrasser sur la bouche.

Lire aussi : [Bénin:la caissière d’une université privée risque 24 mois de prison pour avoir détourné 12 millions FCFA))>https://www.linvestigateur.info/?Benin-la-caissiere-d-une-universite-privee-risque-24-mois-de-prison-pour-avoir&var_mode=calcul]

D’abord silencieuse, la joueuse a ensuite porté plainte, ce qui a déclenché des réactions d’indignation et par ricochet, une crise au sein du football espagnol.

Malgré la suspension infligée par la FIFA, Rubiales avait initialement refusé de quitter son poste avant de finalement céder face à la presse des autorités locales.

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L’investigateur

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