Le Mouvement dénommé Joël Aïvo (MJA), proche du Constitutionnaliste condamné à 10 ans de prison est sur le chemin de l’espoir. C’est ce que sous-entendent ses proches à travers une publication faite sur les réseaux sociaux. Lire les détails.

Tout bon mouvement traverse cinq phases : indifférence, raillerie, abus, répression et respect (...) Tout mouvement qui survit à la répression commande invariablement le respect, qui est une autre forme du succès. Celui du professeur Frédéric Joël AÏVO, n’échappera pas à cette règle du célèbre révolutionnaire, Gandhi.
Tout au début de son parcours de combattant, bien qu’il ait bénéficié tout de suite d’une attention populaire remarquable, ses adversaires et même ses partenaires potentiels sont restés pendant longtemps indifférents à sa démarche. A la longue, puisqu’il poursuivait excellemment et d’une façon originale sa démarche en initiant le « dialogue itinérant » qui reçut un écho favorable auprès des populations, ses adversaires le raillaient. Tournant en dérision la noblesse et le caractère atypique de sa démarche, les commis du pouvoir dit de la rupture se sont donné le vilain plaisir de se moquer du Professeur Frédéric Joël AÏVO dès les premiers instants de la manifestation des signes de ses ambitions de briguer la magistrature suprême.
Mais cette période sera de courte durée.

| Lire aussi : People : ‘’sans bague d’alliance à 32 ans, pas de s3xe. Nous honorons Dieu ‘’

Puisque, le fils du célèbre humouriste béninois Baba Yabo, va élever le niveau de son engagement. Le professeur Aïvo leva un coin de voile sur les grands axes de son projet de société pour le Bénin intitulé « Faire renaitre le Bénin que nous aimons » apparaissant ainsi comme l’unique véritable challenger de Patrice Talon. Au surplus, en dénonçant sans langue de bois et avec objectivité les égarements persistants de sa gouvernance, il réussit à sortir le Président de la République de son aquarium.

| Lire aussi : Jihadistes à Lalo : voici la réaction du maire William Fangbédji

Ceci aura été largement suffisant pour provoquer la levée de bouclier et le déchaînement des chiens de garde du pouvoir sur sa personne.
Les menaces à peine voilées, les tentatives de déstabilisation, la multiplication des tracts conçus pour nuire à l’image de l’homme, les pièges posés ci et là, arrestation tous azimuts de ses militants et sympathisants, interdiction de ses meetings par ci, Covid politique par là ; le pouvoir ne tarit pas d’initiatives pour en découdre avec l’homme du chemin de l’espoir. Mais le Professeur restera, jusqu’au bout, droit dans ses bottes.

| Lire aussi : Bénin  : ce que doivent coûter le vernissage et l’exposition des 26 œuvres culturelles

En effet, ses adversaires viennent enfin de se rendre compte du caractère sérieux et de la grandeur de l’homme politique désormais résolument décidé à s’installer à la marina en 2021 pour restaurer la démocratie au Bénin.
Dès lors, l’on avait toutes les raison d’espérer un rude combat mais un combat régulier. Malheureusement, il n’en sera rien. Le dictateur sentant son échec de plus en plus évident a préféré maintenir par la violence le verrou électoral et par la suite mettre arbitrairement son adversaire dans les liens de la détention.
C’est ainsi que le constructeur du chemin de l’espoir s’est vu précipiter injustement dans un tunnel judiciaire dont nul ne peut, pour l’instant, présager de la véritable fin.
Quoiqu’il en soit l’espoir est de mise. Quelle que soit la durée de la nuit, le soleil apparaîtra.
Toutefois, il est indispensable aujourd’hui, que chaque patriote béninois, prenne son bâton de pèlerin comme le Professeur AÏVO, pour aller au secours de son pays.
N’abandonnons pas notre pays !
Sauvons notre démocratie, sauvons notre pays !

Source externe