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Tout semble être prêt pour une intervention armée de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cédéao), au Niger. Au-delà des autres détails, on en sait un peu plus sur le nombre de militaires prévus pour constituer le bataillon qui interviendra à Niamey, au nom de la Cédéao.

Selon rfi, le nombre de bataillon armé prévu pour cette intervention au cas où le dialogue prendrait définitivement un coup est de 25000 soldats. Hier, à la fin de sa réunion qui s’est tenue à Abuja, la Cédéao a activé sa force en « attente ». Des pays comme le Nigeria (la locomotive) de cette force, le Bénin et la Côte d’Ivoire ont donné leur accord de principe pour fournir des soldats dans le cadre de l’opération. On apprend également que des pays comme la Sierra Léone, et autres, ne seront pas du reste. Faisant le point aux médias, hier à sa descente à l’aéroport Félix Houphouët Boigny, après sa participation à la réunion d’Abuja, le président ivoirien, Alassane Ouattara a déclaré que les « décision prises sont collectives ». Il a aussi laissé entendre que son pays fournirait entre 850 ou 1100 soldats.

Lire aussi : [Simone Gbagbo : l’ex-première dame donne son point de vue sur les sanctions de la Cédéao contre le Niger>https://www.linvestigateur.info/?Simone-Gbagbo-l-ex-premiere-dame-donne-son-point-de-vue-sur-les-sanctions-de-la&var_mode=calcul]

Demain à Accra, dans la capitale ghanéenne, les chefs d’Etat-major des armées des pays membres de la Cédéao vont se réunir pour les probables derniers réglages.

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L’investigateur

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