L’hôpital du CNHU traîne est gangréné par plusieurs maux en dépit des réformes entreprises par le gouvernement dans le but d’inverser la tendance. C’est d’ailleurs, la léthargie sur fond de gouvernance approximative dont cette maison est l’objet qui a conduit à une « coupure de courant », vendredi dernier. Malheureusement, cela a entraîné le décès de quatre (04) personnes à la clinique universitaire polyvalente d’anesthésie-réanimation. Entre autres dénonciations, il y a celle de la journaliste Angela Kpeidja.

Pour l’auteur du livre "Bris de silence", c’est "malheureusement un désaveu entre le plus grand hôpital et les malades depuis des années".
Plus loin, l’activiste dira qu’elle a eu à réaliser un documentaire sur les états généraux de cet hôpital aux fins de contribuer pour sa part, à la résolution des maux qui minent la maison. Hélas, tout a été mis sous éteignoir juste dans l’optique d’empêcher le président de la République d’y être au parfum.

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« J’ai personnellement réalisé un documentaire pour les états généraux du Cnhu qui lève le voile sur la problématique.

Mais ils tiennent toujours à leur chaise respective (Chef service, Directeur et autres) au mépris du bien commun. A l’époque, le documentaire a été mis sous boisseau pour que le chef de l’Etat n’y voit que dal ! », se désole la journaliste. Comme recommandation, elle demande aux responsables de cet hôpital de « démissionner ».