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Bénin : plus de changement à la tête des partis de la mouvance avant 2027

L’investigateur 28/04/2023 à 16:42

La crise artificielle, créée au Bloc Républicain (BR) ne sera qu’un feu de paille. Vouées à l’échec, les motivations de l’ancien député, Rahcidi Gbadamassi, l’un des artisans de ladite crise ne seront que pures désillusions. Au sommet du parti, la cohésion entre les dirigeants a fait voler en éclats, l’envie de l’ancien maire de Parakou qui croyait avoir trouvé de prétexte pour agiter le sommeil du SGN/BR.

Autre temps, autres mœurs et l’ancien député Rachidi Gbadamassi se doit de l’intégrer dans son subconscient. Sa crise créée de toutes pièces au Bloc Républicain ne durera pas aussi longtemps qu’il le pensait. Depuis ce mardi 25 avril 2023 en effet, le requiem a été chanté pour sa crise dont l’élément déclencheur était sa lettre dans laquelle il exigeait la démission du premier responsable du parti, le Secrétaire général national (SGN), le ministre Abdoulaye Bio Tchané. De sources concordantes, la réunion ténue par le bureau politique mardi dernier, a évacué les sujets sensibles et rangé sa lettre dans les tiroirs de l’oubli.
Mieux, une source externe au BR a renseigné l’Investigateur qu’aucun responsable de parti soutenant les actions du président de la République, en particulier l’Union Progressiste le Renouveau et le Bloc Républicain ne sera changé ou évincé avant 2027.

Lire aussi : Bénin : Les Démocrates votent contre le rapport d’activités du président de l’Assemblée nationale Louis Vlavonou

Cité dans « l’affaire 70 millions FCFA », un dossier fumant et qui a trait au parrainage des élections présidentielles en 2021, l’ancien député Rahcidi Gbadamassi, coutumier des changements spectaculaires de veste (NDLR son départ du G13 sous l’ancien régime), a cru devoir trouver son Cheval de Troie pour maquiller son échec de janvier 2023 (NDLR es législatives), dont il en est sorti affaibli et gros perdant. Qu’à cela ne tienne !
Sinon que sa la crise créée au BR n’est que la partie visible de l’iceberg. Car, plus grave que cela, leurs accointances (lui et ses illusionnistes) avec les producteurs du soja manipulés contre le premier responsable de la mouvance sont également connues. Selon leur schéma, le président Patrice Talon est d’ores et déjà fini. Mais oubliant que le chantre de la Rupture a toujours pion sur rue, ils croient être dans un no mans land désormais. Si sous Boni Yayi, la recette a marché, pas évident que les même causes produisent les mêmes effets sous Talon. Un averti du landerneau politique qui plus est !




 
 

 
 
 

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