Par le truchement d’un message adressé à l’occasion de Journée Internationale des droits de la Femme (JIF), « La Femme noire, Femme de pouvoir », Christhelle Houndonougbo Alioza a touché un concept sensible auquel toutes les initiatives des « Grands Hommes », concourent aujourd’hui dans le monde : « la paix ». En effet, pour la Directrice Administrative de l’Union Progressiste le Renouveau, cette occasion de célébration de la gent féminine est l’une des rares, à saisir pour toucher du doigt, une réalité tangible. La célébration de la JIF à son entendement, est le moment dont il faut se saisir pour placer la femme au cœur de l’action à fin de valoriser ses atouts pour en désespoir de cause, tirer profit de sa contribution aux concepts de paix, de l’amour et de développement pour la planète toute entière. Voici l’intégralité de son message à cette occasion.

Chères sœurs !
Chères amies !
Chères femmes !
Voici encore la Femme à l’honneur ce 08 mars 2024 où toute l’humanité célèbre son potentiel et recommande fortement sa contribution nécessaire aux actions de paix et de développement.
La JIF n’est pas une dédicace à la femme. Elle est plutôt un test et un appel que le monde envoie à la gent féminine pour mesurer sa capacité d’adaptation aux enjeux de son temps, sa résilience devant les difficultés et son endurance sur l’épineux chantier de l’épanouissement féminin.
Épanouissement qui peine à prendre vu le thème retenu cette année. « Investir en faveur des femmes : Accélérer le rythme » met en relief l’importance et l’urgence à aller vite et bien aux actions novatrices en faveur de l’égalité du genre, de l’autonomisation des femmes et des filles, et de leur droit à une vie plus saine et plus Épanouie.
Il est d’une évidence que le progrès des femmes est le progrès de chaque membre de sa famille, de sa communauté et de chaque citoyen de son pays.
Donner donc la priorité aux femmes ne devrait donc pas être une option, mais une nécessité puisqu’il s’agit de la nécessité de promouvoir le développement inclusif, qui donne la parole aux femmes et les engage à faire valoir leur potentiel pour le bien-être social commun.
Le Bénin, a déjà compris l’enjeu et l’importance d’investir dans la fille et dans la femme.
Le Bénin a compris qu’il faut mettre en action des mécanismes sûrs et adaptés pour des résultats probants.
Le Bénin a compris qu’il y a que les hommes et les femmes qui puissent porter ensemble, durablement la République.
Cet engagement est salué et encouragé.
Encourager pour une accélération certaine du rythme d’engagement des actions en faveur de la femme pour les enjeux futurs.
Et parlant d’enjeux futurs, c’est la présence des femmes dans l’administration locale.
Que faisons ensemble, pour permettre à la femme béninoise d’y être représentée quantitativement et quantitativement ?

En ces périodes ou certains débats politiques ont cours, intégrons aussi cette question essentielle pour le développement et le bien-être des communautés.
Mes remerciements à tous ceux qui œuvrent pour l’épanouissement de la femme !
Mes chaleureuses félicitations à toutes les femmes qui tiennent le pari en dépit des entraves.
Hommages à toutes les femmes politiques, les femmes d’affaires, les femmes de nos marchés, les femmes rurales qui se battent avec vaillance telles des amazones pour le mieux être de tous.
Mon soutien à toutes celles qui traversent des difficultés de toutes sortes.
Je nous invite au courage, à l’espoir et à l’espérance.
Mobilisons-nous davantage hommes et femmes pour accélérer le rythme des actions à l’endroit des femmes !

Bonne fête à toutes !

Christhelle HOUNDONOUGBO ALIOZA