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Partouze : le Pape François réagit à une partie de s3xe entre un prêtre et des religieuses
Profitant de son discours de Noël annuel aux cardinaux, aux évêques et à tous les autres membres de la religion catholique, le Pape François est revenu sur le phénomène relatif aux abus sexuels au sein de l’église.
Le chef de l’Église catholique a condamné « la violence psychologique et l’abus de pouvoir ». « Outre la violence des armes, il y a aussi la violence verbale, la violence psychologique, la violence de l’abus de pouvoir, la violence cachée du commérage. », a déclaré le pontife de Rome.
C’est au cours de son discours annuel de Noël que le Pape est sorti de sa torpeur pour évoquer de manière implicite le cas d’un prêtre accusé d’avoir profité de son statut pour inviter des religieuses à participer à des relations sexuelles en groupe. Pour le Pape, personne ne devrait « profiter de sa position et de son rôle pour rabaisser les autres ».
Or, ses propos interviennent au lendemain de l’affaire qui a fait grand bruit au sein de l’église catholique. En l’occurrence l’accusation formulée contre un prêtre de 68 ans du nom de Marko Ivan Rupnik.
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Ce dernier est accusé par une ancienne religieuse qui a soutenu qu’il a utilisé son contrôle « psycho-spirituel » sur elle aux fins de tenir des relations sexuelles avec elle il y a environ trois décennies. Aujourd’hui âgée de 58 ans, l’ancienne religieuse indique que le mis en cause aurait usé de son statut pour l’amener à regarder des films pornographiques et à participer à du sexe en groupe.
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« Le père Marko a commencé lentement et doucement à pénétrer dans mon monde psychologique et spirituel, exploitant mes incertitudes et ma fragilité et utilisant ma relation avec Dieu pour me pousser à des expériences sexuelles avec lui. », avait confié la religieuse victime au média italien Domani.
Plus loin elle a soutenu que le mis en cause ne lui avait pas donné l’occasion d’en parler et ceci pendant plusieurs années. Aussi, des responsables auraient bloqué les différentes plaintes formulées contre le père Marko Ivan Rupnik.
Connu dans l’église pour ses œuvres d’art, l’accusé était directeur spirituel d’un couvent en Slovénie. Au final, le secret a ébruité et tout est dehors.
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