La commune de Lalo, département du Couffo est par maladresse sous les projecteurs. En toile de fond, cette affaire liée à l’absence du deuxième adjoint au maire, Renaud Ulrich Davi Bossou du territoire national.

L’affaire dite « affaire DA de la commune de Lalo », c’est-à-dire le Deuxième Adjoint au maire fait grand bruit actuellement et d’ailleurs, constitue le choux gras des médias classiques tout comme les médiaux sociaux. En effet, dans sa parution N°1424 du lundi 02 décembre 2019, le Journal le Potentiel titrait que contrairement à ce qui est ventilé dans l’opinion publique, le deuxième adjoint au maire de la commune de Lalo, Renaud Ulrich Davi Bossou, n’est guère l’une des victimes du régime en place. Mais qu’il est parti du pays parce qu’il aurait eu maille à partir avec la justice. A en croire l’auteur de l’article, l’absence prolongée de cet élu communal n’est pas synonyme d’un exil, mais un départ délibéré pour l’hexagone depuis environ sept (07) mois. Car, l’intéressé se reprocherait des choses sur sa gestion, renchérit la parution. Plus loin, l’auteur de l’article estime qu’il aurait « failli après son élection aux communales de 2015, vu qu’il est Investi d’une charge publique dans ses fonctions politiques en termes d’administration de la commune aux côtés de ses pairs, et de ce pas, astreint au respect des règles élémentaires qui président la gouvernance locale ». Pire, le journal relate qu’il aurait commis des « forfaits en sa qualité de deuxième adjoint au maire de la commune de Lalo et qui ne se sont pas limités au périmètre de ses fonctions d’élu communal ». Mais au-delà, les supputations continuent. Pour les proches du Deuxième Adjoint au maire, il s’agit d’un exil pendant qu’à l’opposé, on soutient la thèse d’une fugue. Et, tout compte fait, l’affaire place la commune de Lalo au cœur d’une polémique comme on en connaît sous les tropiques. Surtout à quelques encablures des prochaines élections locales.