La Chambre des représentants a approuvé les 500 milliards de nairas demandés par le président Bola Tinubu pour la fourniture de palliatifs afin d’atténuer l’impact de la suppression des subventions pétrolières sur les Nigérians.

Jeudi, la Chambre a modifié la loi de crédits supplémentaires de 2022 pour répondre à la demande du président.

M. Tinubu avait, dans une lettre mercredi, demandé à l’Assemblée nationale de modifier la loi de crédits supplémentaires de 2022 en extrayant 500 milliards de nairas pour fournir des palliatifs.

Jeudi également, le Sénat a reçu une lettre similaire de M. Tinubu lui demandant de lui accorder l’autorisation de retirer 500 milliards de nairas de la loi de crédits complémentaire de 2022 pour financer la fourniture de palliatifs aux Nigérians.

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Le budget supplémentaire de N819, 536, 927, 815 a été introduit par l’ancien président Muhammadu Buhari en 2022 pour des projets d’investissement en raison de l’impact des inondations sur les terres agricoles et les infrastructures routières.

M. Tinubu dans la lettre au Sénat a noté que la suppression des 500 milliards de nairas pour financer la fourniture de palliatifs est "nécessaire".

"Je vous écris pour demander l’approbation du Sénat pour l’amendement de la loi de crédits supplémentaire de 2022 conformément à la pièce jointe.

« La demande est devenue nécessaire afin, entre autres, de trouver les fonds nécessaires pour fournir des palliatifs afin d’atténuer les effets de la récente suppression de la subvention du carburant sur les Nigérians.

« La somme de 500 milliards de nairas a été extraite de la loi de crédits supplémentaire de 2022 de 819 536 927 815 pour la fourniture de palliatifs aux Nigérians afin d’amortir les effets de la suppression des subventions sur les carburants.

"Bien que j’espère que le Sénat examinera cette demande avec diligence, je vous prie d’agréer Distinguer le président et les membres du Sénat, l’assurance de mes plus hautes considérations."
En définitive, cet acte de la Chambre des représentants apporte une bouffée d’oxygène au président Bola Tinubu qui en a besoin pour atténuer les effets de la suppression de la subvention du carburant.