Le député Orden Alladatin de l’Union Progressiste le Renouveau (UPR) s’est prononcé, lundi 09 octobre dernier, sur l’émission « A Bâtons rompus sur l’actualité politique », de Esae Tv et Reporter Bénin monde. Au passage, il a brossé les sujets de l’actualité nationale sans oublier ceux de son parti.

La question de succession du président Patrice Talon ne préoccupe pas encore les responsables de l’Union Progressiste le Renouveau (UPR). Lundi 09 octobre 2023, le député Orden Alladatin l’a martelé, lors de sa sortie médiatique.
Opinant sur plusieurs sujets d’actualités, le député de l’Union Progressiste le Renouveau (UPR) assure que son parti n’est pas encore dans les tractations politiques pour les élections présidentielles de 2026. A l’en croire, les questions qui préoccupent sa mouvance, concernent le renforcement du reste du mandat du Président Patrice Talon et la préservation de ses acquis, dans l’ordre et la discipline. « A deux ans de la présidentielle, l’UP-R ne peut lancer un appel à candidature pour solliciter le remplaçant du président. Ne me poser pas la question car en ce moment, ce n’est pas à l’ordre du jour », va-t-il déclarer.

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Une question qui reste quand même pendante. A ce titre, Orden Alladatin a indiqué que, la succession de Patrice Talon, n’est pas l’urgence dont il faut débattre. Pour lui, c’est la fin élogieuse et glorieuse de son mandat qui compte. Toujours en cours avec des chantiers du Programme d’Action du Gouvernement (PAG2). Le député de la 16è circonscription électorale dira que le défi majeur de l’État-major du parti politique, est la mise en place d’un mécanisme de renforcement de ses structures à la base et de la réforme du système partisan. En ce qui concerne, les tractations à venir pour la proposition d’un successeur au président de la République, il rassure qu’au moment opportun, le problème sera réglé au sein de l’Union Progressiste le Renouveau.
Sur les nombreuses suscitations de candidatures d’Olivier Boko et autres, le parlementaire a préféré ne pas donner dans des spéculations. Il souhaite attendre que les intéressés fassent eux-mêmes, leur déclaration.